Nom : Màraran
Prénom : Rùmil
Age : 24ans
Sexe : masculin
(Sexualité :"accessoire")
Pouvoir : l'ombre et la lumière
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Statue : Professeur de magie
Race : Elfe
Objectif : respecter Gabriel...c'est dure comme objectif a atteindre n'est-ce pas ?
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Physique : Rùmil est un elfe ? Pas possible ?! Si, si je vous assure. Mais et ses oreilles ?
Eh oui, personne ne peut voir les oreille de Rùmil, trop bien caché sous une tonne de cheveux sombre rappelant à la perfection la nuit, ou pire, les ténèbres. Ses yeux en amande sont tout aussi sombre, quoique légèrement plus clair, avec des traces de turquoise dedant. Les gens le fixe depuis toujours à cause de ça. Ils trouvent que quelque chose est étrange en lui, sans jamais réussir à définir de quoi il s'agit. Pourtant, de la turquoise dans du pétrole…ça flash non ? Bref
Son teint semble très clair alors qu'en réalité il n'est pas qualifiable. Le soleil le laisse indifférent, il se fiche de la couleur de sa peau. Mais sa tignasse et ses vêtements ont tendance à fausser la vision des gens. Son visage est assez carré, mais les traits sont en revanche très fins. Un drôle de mélange, hérité d'une fusion parfaite entre les chromosomes de ses parents. En revanche, hormis cette forme de visage plutôt masculine, le reste de son corps ne ressemble en rien à un homme. Ses membres sont comme ses traits, fins, et malgré les efforts qu'il a fait pour avoir l'air un peu moins fragile, rien ne s'est passé. Sa musculature se remarque à peine, et pourtant, mieux vaut ne pas le chercher trop longtemps ou apprêtez-vous à vous retrouvez encastrer dans un mur de béton armé. Lui, fragile, frêle, chétif ? Pas le moins du monde, c'est tout le contraire…sauf en apparence. Les gens ne se méfie pas de lui, ce qui l'arrange en grande partie. Son visage est assez fermé, stoïque, mais apparaît de temps à autre un petit sourire. Pour connaître son humeur ou son impression sur les gens, il faut regarder dans ses yeux. Les morceaux de turquoise qui se trouvent à l'intérieur semblent légèrement s'illuminer(un peu comme des lampes) lorsqu'il trouve chez quelqu'un quelque chose d'intéressant, de bien, de correcte. Mettre une bonne note aura cette effet, voir un élève réussir un exercice aussi. En fait…c'est surtout en cours qu'il ne sourit pas. Avec ses amis, il est moins rare de la voir sourire.
Ses vêtements sont plutôt sombres. Noir, bleu foncé, vert foncé, rouge foncé…les rares fois où il met du blanc c'est pour aller en cours. Chemise blanche, veste noir et pantalon tout aussi noir. Parfois il remplace cet éternel costume par un ensemble un peu plus vert, nuancé. Son autre vêtement clair est une tunique qu'il ne met que très rarement(pourtant tout le monde s'accorde à dire que cela lui va très bien)
Physique particulier : ses yeux, ses oreilles(enfin c'est pas étrange pour les elfes)
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Caractère : Rùmil n'est pas du genre à s énerver. Mais la fatigue le rend très vite instable. De plus, les élèves sont particulièrement doué pour ce qui est d'emmerder les prof. Soit en séchant(j'en vu qu'il y avait des petits délinquants parmi vous), soit en ne rendant pas les devoir et en inventant des excuse à la mord-moi-le-nœud, ou d'autre chose de la sorte tout aussi chiante. Aussi est-il content d'exercer une autre activité au service des Moris. En arrivant dans ce monde, il avait été comme soulagé, maintenant il se sentait à sa place, et non comme un corps étranger que les défense immunitaire essaieraient de détruire. A cause de ça, il apprécie beaucoup Gabriel et la Princesse…mais plus Gabriel. Mais il est loin d'être un fanatique, et il admire beaucoup le chef Mori, bien plus jeune que lui, mais avec une détermination à toute épreuves, et d'après ce qu'il avait pu constater en l'observant, un talent certain pour la maniement du sabre. D'un point de vue professionnel, il est irréprochable. Jamais malade, aucune absence à son actif, particulièrement sérieux, et les élèves progressent assez vite grâce à lui. Ses cours ne font sans doute pas partit des plus passionnant, mais il est content de l'attention qu'il génère(son physique y est surement pour quelque chose). Ses collègue ne se plaignent jamais de lui, ce qui est tout à fait normal, puisqu'il ne leur parle pas beaucoup, sauf pour des informations de type utilitaire. Personne ne sait ce qu'il fait, à part que c'est un Mori. A partir de là, il serait aisé de penser qu'il essaie par tout les moyens de convertir les jeune à ses convictions, mais ce n'est pas le cas. Loin de là. Il les encourage à faire leur choix seul, selon leur convictions. Bien sur, laisser une telle liberté en étant Mori pourrait sans nul doute faire naître un émerveillement dans l'esprit de ces jeunes, comme quoi les Moris sont le clan le plus libre. Mais peu lui importe, c'est sa façon d'agir, et il ne voit pas le mal. Après tout, il n'aborde jamais vraiment ce genre de questions en cours, le magie avant tout. Apprendre à la maîtriser, et avoir quelque base de combat avec ça, pour éviter les mauvais coup en cas de prise en sandwich dans une malheureuse bataille de rue.
Avec les gens qu'il fréquente, très peu, il est plutôt joviale, très sympathique sans tomber dans les extrême comme l'optimiste pure et dure et trop sociable bavardant à s'en donner mal à la tête. Parler n'est pas une chose qui l'intéressent vraiment, il préfère écouter. Ce qui ne l'empêche de blablabter sur des sujets sans importance et loin de toute philosophie. Il garde tout de même un côté inaccessible, préférant éviter que les gens connaissent son vrai rôle au sein des Moris. Après tout, ce poste demande la plus grande discrétion. Heureusement pour lui, les gens qu'ils fréquentes ne posent jamais de questions déplacé, et au pire, il suffit de les éclipser de manière subtil…ou pas.
Il a aussi très souvent envie de faire bouffer aux gens leur cigarette. Avec tout de même quelques exeptions, car chez certaines personnes, fumer leur va très bien, même si c'est mauvais, et d'un autre côté, la fumer de cigarrette, si elle n'était pas à ce point pestillantiel, il en serait fan.
Une autre informtation utilise pourrait être que c'est un bon joueur de poker et qu'il adore ce jeu, ainsi que beaucoup d'autre constitués de cartes. Il aime beaucoup lire et admirer des paysages. Il a un petit coté contemplatif et lunatique qui lui vont très bien.
Habitude : regarder les gens du'n air blasé quand ils disent des choses incohérente ou des blague pourris. Faire mumuse avec la lumière.
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Histoire : Etant membre Moris maintenant, on peut facilement se douter que son passé sur Terre n'était pas très glorieux. A vrai dire, il était tellement pitoyable qu'il la rayer de sa mémoire…ou du moins, il a essayé, mais le passé rattrape très vite les gens.
Il naquis dans une ville assez sombre d'Irlande, du genre de celle où les légende avaient beaucoup d'emprise sur la vie des habitants. Le plus proche hôpital se situaient à quelques kilomètre, mais le chemin pour y aller était tellement escarpé, les route tellement mauvaise, que l'on faisait plus souvent appel au médecin, ou apothicaire du village qu'à une personne formée pour cette fonction. Rùmil n'eut pas la chance de naître dans un endroit confortable, et la première chose qu'il rencontra à l'aube de sa vie fut de la mousse humide et très odorante. Sa naissance n'était pas prévu pour aussi tôt, alors sa mère, un peu fatigué, avait décidé d'aller reprendre des force en forêt. Elle s'y était enfoncé assez profondément jusqu'à la demeure d'ancien elfe, peut-être encore dans ses bois, du moins, d'après une légende locale transmise de bouche à oreille. Et comme il naquis au milieu des arbres, au centre de la nature, on lui offrit un prénom pour le moins hors-norme, Rùmil, le nom d'un elfe. Son nom de famille, personne ne savait d'où il venait, mais son origine elfique ne faisait aucun doute. A croire qu'il était poursuivit par ces légendes. Bref.
Les prémices de sa vie se passèrent comme celle tout le monde. C'était bébé tout le monde. A ce moment là, être original ne berçait pas son esprit et ne l'effleurait pas le moins du monde, et pourtant il l'était. Affublé d'un nom parreil, et comme si la nature le savait, les animaux venait souvent le voir et il n'était jamais violent avec eux, contrairement à beaucoup d'enfant ne sachant pas doser leur force. Lui ne tira jamais sur les moustaches du chat de Madame Gâteau-au-chocolat, ou sur la queue du chien de Monsieur Le-Chasseur-des-terriers. La seule pensé qui traversa la tête des parents était que, puisqu'il était né en forêt, les elfe lui avait accordé un don. Et si ça se trouve, c'était les elfes qui avaient provoqua l'accouchement, ou bien, ils savaient que ça allait se produire ce jour même, et ils ont mis dans l'esprit de la mère le désir d'aller en forêt. Bref, ce genre de chose improbable pour un esprit des ville. Mais là, dans ce tout petit village, perdu entre deux forêts, sans route valable pour y accéder, et par conséquence, coupé du monde, cette hypothèse était partagée par tout le monde. Les animaux était donc ses amis et pour calmer ses pleur, rien de mieux qu'une fleur des champs, ou une longue tige feuillu. C'était ses seule caractéristiques particulière. Son développement était au même rythme que ceux des autre, qu'il soit physique ou mental.
A son entré en maternel, la même passion de la nature l'animait. Et ses camarades ne plaignaient pas. Les instites s'émerveillaient de le voir ainsi s'épanouir au travers cette atmosphère sacrée. Il se fit des copains, et des pas copains. Tout était normal. En primaire, les choses se gâtèrent un peu, mais sans gravité. L'esprit des enfants commençaient à évoluer, et malgré leur réclusion dans un village reculé, la mondialisation et l'économie libéral faisait son apparition. Les enfant perdirent peu à peu leur caractère fantastique pour devenir un peu plus terre-à-terre. Ce fut au collège que l'horreur commence. Déjà, parce qu'il devait quitter le village, et donc tout ses repère. Ensuite, parce qu'il devait fréquenter d'autre élèves, chose qui ne lui était jamais venu à l'esprit. En enfin, parce que ses nouveau camarade venait de village plus accessible, ou bien de petite ville. Son lien avec la nature fut considéré d'office comme un truc bizarre et ses anciens amis lui tournèrent eu à peu le dos. Il décida alors de camoufler ce lien, mais c'était une chose très dure à faire, car il se sentait lié à la vie à la mort avec elle. Mais grâce à de titanesque effort(qui le rendit malade près de la moitié scolaire de 6ème) il réussit une petite réinsertion social. Mais en voyant évoluer les gens autour de lui, il s'apperçu que le caractère sacré qu'avait la nature, faune, flore ainsi que la lumière, l'ombre, le cailloux qu'on balance dans la marre pour faire peur aux canard n'était rien pour eux comparé à leur confort et l'économie. Son envie de faire partie de cette société était quasi inexistante et ses résultats scolaire transpiraient son refus de s'y mêler. A l'age de 16 ans, il quitta l'école et commença à travailler dans les champs, à aider ses parents. Les voisins riaient en voyant un jeune homme aussi frêle travailler de la sorte. Que pouvait-il faire avec une parreil gueule de fille et des muscle inconnu au bataillon ? Et pourtant, il était le plus efficace.
Au moment ses 18 ans, un tueur en série fit son apparition dans les média. L'homme s'en prenait aux gens sans histoire, des paysans pour la plupart et frappait toujours dans des villages isolés. Il n'était peut-être pas si fou que ça pour choisir de tel endroit. Mais le psychologie de ce tueur n'est pas notre affaire. En hiver, ses parents se firent éliminé purement et simplement. Une espèce de haine commença à s'approprier son cœur. L'assassin avait sa tête mise à prix. Les problème d'argent qu'il connaissaient et son désir de vengeance le persuadèrent de devenir chasseur de prime. Sa première proie. Se n'avait été du plaisir, loin de là. Cette première chasse lui laissait le goût amer de la vengeance au travers de la gorge, mais s'apercevant qu'il avait un talent certain pour ce métier, continua. De plus, les habitants de son village natale connaissaient son secret, ses actes. Non seulement il était lié à la nature, sans doute une humain possédé par une créature magique, mais en plus c'était un chasseur de prime. Ils l'exclurent du village, sans autre forme de procès.
Il erra quelque temps en forêt. Ce rapport avec elle le rendait serein. Mais il savait qu'étant humain, il demanderait toujours plus. Et un beau jour, l'eau de source et les fruits sauvages ne suffirent plus à le nourrir. Il lui manquait de surcroît de la compagnie, parce que c'est bien beau les petits oiseaux, mais ça cause que dalle, et comme dit plus haut, c'est un être humain, certes étrange, mais il était bel et bien humain, et donc, sociable, et donc, il avait besoin d'autre personne comme lui, ce qui était impossible à trouver entre deux arbres, ou dans un paquet accroché à une branche. Il retourna donc dans des lieux plus habité et fit ce métier qui le dégoutait. Mais ayant arrêter l'école très tôt, n'ayant aucun diplôme et se trouvant dans l'impossibilité de retourner chez lui, il ne lui resta que ça à faire. Et il s'en sortie plutôt bien, bien mieux que d'autre. Mais un sentiment le dérangeait. Il n'était à se place nul part, et les gens qu'il fréquentait le laissaient froid. Rien dans leur attitude ou leur caractère ne lui donnait envie de se lier de quelque façon que ce soit avec eux. Ce sentiment de malêtre le poursuivit jusqu'à ce qu'il atteigne 24 ans. Jusqu'à ce qu'il découvre Jijitsu.
Dans cette histoire, peut-être cela vous a-t-il paru étrange que l'on ne parle pas plus de la mort de ses parents. Mais en réalité, elle est sans importance. Peu importante les autre scénario, il aurait eut de plus en plus en grandissant cette chose désagréable qui pesait en son cœur, et rien n'aurait pu y remédier. Alors pourquoi encombrer son histoire ? Mais si vous voulez tout savoir, la mère fut abattu vers l'enclos des lapin et le père dans le potager. Heureusement que ces meurtre avait eut lieu en extérieur, comme ça, pas besoin de laver la maison de fond en comble.
Famille :Elle n'a aucune importance, ce n'était que des paysans irlandais, friand de légende et qui croyaient dure comme fer à la magie des forêt, et aux dragons dans les montagnes, ou les endroits caillouteux
Mot : C'est boooooooooooon, by kiichigo ^^
Je n'ai pas relu, je le ferait un jour, peut-être ^^