Pose sur la fontaine[Zarentail]

La ville était vraiment immense. Il avait beau être habitué à ses dédales, il arrivait encore qu'il se perde durant quelque seconde. Avec son habitude de ne pas trop regarder où il allait, il n'était pas rare qu'il arrive dans un endroit où il n'avait pas prévu d'aller. Alors, il m'était quelque secondes à le reconnaître. c'était une impression à la fois agréable et désagréable. Un léger vent de panique soufflait dans son esprit mêlé à un goût certain pour l'aventure. Et puis soudain, il se souvenait de l'endroit, et l'impression de nouveauté s'effondrait comme une tour exploser en mille morceaux et il était aussi rassurer en quelque sorte.

Et c'était exactement ce qui venait de se produire. Il n'avait jamais eut l'intention d'aller sur la grande place, et encore moins vers le fontaine où plusieurs enfants jouaient à s'éclabousser gaiment. En les voyant ainsi, il se demandait comme on pouvait en vouloir à Gabriel de les avoir amener ici. Ses petits êtres munit d'aile et de corne, de griffes ou d'écaille n'auraient jamais pu s'intégrer dans l'autre monde. Il ne comprenait vraiment pas la haine des Negaeries et encore moins l'envie de prendre le contrôle totale de la ville des Shuken. Encore, l'idée des Jiyuus, qui voulaient la liberté, la ville à ses habitants, lui semblait plus logique, plus rationnelle. Mais en même temps, on était en mesure de se demander s'il "l'être humain" n'avait pas besoin d'une plus grande autorité qui s'occuperait de la nature. Quitte à choisir un Dieu, autant prendre le plus juste et le plus impartial.

Il en était là dans ses pensées quand un ballon bleu pastel atterrit à ses pieds. Il mit un moment avant de le remarquer, puis se pencha pour le ramasser. Il était étonnant de voir comme un objet d'une telle banalité pouvait amuser les petits, comme les grands. Il sourit tendrement et le rendit à la petite fille qui venait le lui réclamer. Elle s'en alla en courant, rejoindre ses amis qui la harcelèrent tout de suite pour posséder les jouet à leur tour.

Pourquoi bouger ? Il faisait beau, un soleil magnifique réchauffait l'air. Il n'avait pas besoin d'aller s'isoler dans une ruelle sombre, et ce même pour aller voir un élève. Il s'assit donc sur le rebord de la fontaine, ferma les yeux et rejeta sa tête en arrière, offrant son cou au soleil. Ses long cheveux noir se perdirent dans son dos, révélant par mégarde ses oreilles d'elfe. Un petit venant le rafraichir. Ce n'était pas grand chose, mais ce moment de calme mêlant chants d'oiseaux et rires d'enfants, chaleur du soleil et fraicheur d'un vent léger, odeur de pavés chauds et humides, le rendait nostalgique. Son seul désir était de rester assit jusqu'à la tomber de la nuit.

Le temps risquait d'être long sans intervention extérieur...

Je voyais les enfants jouer autour de la fontaine puis mes yeux sont devenus noirs car jouer autour d'une fontaine c'est ce j'aurais voulu faire quand j'étais plus jeune ; soudain un petit vent froid me sortit de mes pensées et à ma grande surprise je vis une personne que j'estimais son âge de vingts a vingt-cinq ans .Je fus troublé par ses cheveux longs puis je me suis dis que tous les garçons et même mon père avaient les cheveux longs. Je suis allé voir cette personne avec des questions à lui poser comme :
- comment t'appelles-tu ?
- de quel quartier viens-tu ?
- quel pouvoir as-tu ?
Quand je fus a deux mètres de l'adulte près de la fontaine un petit garçon tomba devant moi alors je m'accroupis à coté de lui et comme il était en larme je l'ai consolé, puis il se releva et repartit jouer avec ses compagnons. Je l'entendais rire et cela rendit mes yeux doré puis je repartis vers cette personne et je lui pose les questions pour libérer mon esprit.

Un ciel sans nuages. Il s'était toujours dit que ce genre de chose, quelque chose d'uniforme était ennuyeux. Et pourtant, il n'arrivait à trouver le ciel ennuyeux. Il le trouvait magnifique. Son bleu était irréel. En même temps, quand on venait de l'autre monde, on avait l'habitude le voir gris ou bleu délavé, alors que là, la couleur faisait presque mal aux yeux. Il se redressa et commença à jouer avec une mèches noire. Ses oreilles étaient de nouveau caché et plus personne ne le dévisageait comme un extraterrestre. Il avait remarqué qu'il n'y avait pas beaucoup d'elfe, en tout cas il n'en avait pas rencontré beaucoup.

Il tourna la tête vers le droite. Un garçon d'une douzaine d'année aider un enfant à se relever et le consolait. Si ce n'était pas mignon, vraiment adorable. Il était rare qu'à cette age là on fasse à ce point attention aux autres. Mais tout arrivait, même l'impensable...surtout à Jijitsu. Il avait apprit à connaître la ville, ses habitants, ses habitudes, les idéaux des différentes personnes, des différentes races. Il était d'ailleurs émerveillé devant les fée et Kaworu, les Dragons plus précisément. Il avait toujours voulu croire en l'existence des fée dans son monde, il avait cru sentir leur présence, sans jamais pouvoir les voir.Quand aux Dragon, c'était leur capacité à se changer en un animal fantastique, imaginaire. Il trouvait ça out simplement sublime.

C'est alors que jeune garçon s'approcha de lui. Il lui posa une multitude de questions. Pourquoi l'assommait-il dès le début avec ça ? Est-ce qu'il était si curieux que ça aux yeux des autres ? Pourtant, il avait deux bras et deux jambes comme tout le monde, deux yeux, un nez, une bouche. Mis à part ses oreille, il ressemblait à n'importe qui.

"Houlà, doucement petit. Je vais me perdre avec toutes tes questions"répondit-il en souriant.

Il fit mine de réfléchir un instant avant de répondre.

"Je m'appelle Rùmil Màraran et je contrôle l'ombre et la lumière. Tu ne saura de mon quartier. Néanmoins, avant d'interpeler les gens de cette manière en leur demandant qui ils sont, on doit se présenter non ?"

Il sourit. Les enfants de Jijitsu était parfois étrange. Certain était né ici, mais d'autre était "mort" la-bas. Ça ne pouvait être qu'une expérience traumatisante pour eux. Peut-être que ce jeune garçon faisait partit de cette catégorie, ce qui pourrait expliquer son manque de politesse malgré une gentillesse apparante.

Il n'y avait toujours pas de nuage dans le ciel quand soudais un petit vent frai se mis a souffler est c'est alors que je me rendit conte de mon impolitesse ; je me dit que Rùmil avait raison, alors je me suis présenter

-Je m'appelle Zarentail Karacu je maitrise la terre je suis un jiyuu et également un dragon mais je n'ai encore jamais réussis a me métamorphoser mais je ne me souviens plus exactement comment je suis arriver ici, le seul souvenir que j'ai, c'est une immense explosion que j'ai lancer à cause d'un excès de rage.

Soudain je me suis arrêter dans mon élan pour me dire que cela ne l'intéresserait pas.
C'est la que le ballon des enfants qui jouait autours de la fontaine cogna sur ma tête puis quand je me suis retourner les enfants se sont cacher. Je ramassait le ballon et je suis aller leurs rendre. Retournant vers Rùmil une question arriva soudainement dans ma tête. Cette question est

-De quelle race es-tu ?

Le sourire de Rùmil fut indulgent. Cet enfant était étrange. En en effet, que ce soit son nom ou son passé qui semblait un peu confus, il ne faisait aps partit de la norme. Mais qu'est-ce que la norme ? Ici, elle avait grandement changé. Même si lui se fichait complètement de la normalité chez les humains, ayant été lui-même considéré comme une espèce d'animal de foire qu'il fallait tuer à tout prit. Mais ses souvenir commençait à égarer sa pensée. Revenir dans la réalité était primordial pour l'heure. On ne fausse pas compagnie de la sorte à un enfant, quel manque de savoir vivre ! A ce demander qui l'avait éduqué…

L'un des gosses ordinaires qui les entouraient, venait de shooter maladroitement dans la pauvre balle qui vint s'écraser piteusement sur la tête de Zarentail. Celui-ci, au lieu de s'énerver comme n'importe qui de son age, ramassa le ballon et le rendit délicatement aux gamins, avec une gentillesse rares, et particulièrement difficile à dénicher chez ce genre de garçon. Comme quoi tout arrive. Si son sourire de tout à l'heure étant amical, son regard n'avait, en revanche, rien reflété. Mais maintenant, tout en lui inspirait la confiance, une ouverture à une quelconque discussion.

"De quelle race je suis ?"

Il était étonné qu'il lui pose cette question. N'avait-il pas vu ses orreille trop longue et effilées ? Il fallait croire que non. Il souleva délicatement quelques mèches de cheveux sombres, révélant la preuve de son appartenance à la race des elfes.

"Un elfe, me semble-t-il"

Il écartement doucement ses doigts, et chacun de ses cheveux reprit gentiment sa place habituelle le tout dans un mouvement harmonieux et fluide. On aurait presque pu croire que ces cheveux était en vérité de l'eau, ou du pétrole.